La Ville d'Enghien lutte activement contre les inondations
18 mars : visite des zones d’immersion temporaire, guidée par Guy Devriese et l’ingénieur responsable du chantier au SPW. Le rendez-vous est fixé à 9 heures, à la place de Labliau. Déplacement à vélo pour ceux qui le peuvent ou en voiture pour les autres.
C’est au village de Marcq que les problèmes les plus sérieux ont été rencontrés. Olivier Saint-Amand et Guy Devriese, les deux échevins des travaux successifs, ont tout d’abord demandé des analyses précises des phénomènes naturels responsables de ces inondations.
L’étude réalisée par un bureau spécialisé a permis d’identifier les causes des inondations, de mesurer les quantités d’eau en jeu et de proposer des solutions pour éviter de nouveaux débordements à l’avenir.
Pour protéger le village de Marcq et ses habitants, la solution préconisée était de retenir les eaux en amont. En limitant le débit de la Marcq et du Lietensbeek avant le passage sous le TGV et l’autoroute, on retient des quantités gigantesques d’eau qui s’accumulent dans des prairies inondables (des zones d’immersion temporaire). Ces eaux s’écouleront ensuite lentement, plusieurs heures, voire plusieurs jours après les fortes averses.
La solution étant trouvée, il restait à rassembler les budgets nécessaires pour la mettre en œuvre. Nos deux échevins ECOLO ont réussi à mobiliser des fonds régionaux (dans le cadre du remembrement), provinciaux et communaux pour la réalisation de deux zones d’immersion temporaires. Les travaux sont à présent bien avancés, à la limite entre Marcq et Labliau.
D’autres endroits du territoire communal sont sensibles aux inondations. Guy Devriese est régulièrement sur le terrain lors des fortes pluies pour surveiller les débordements, apporter le soutien des ouvriers communaux et mettre en œuvre toutes les solutions nécessaires pour que les débordements ne se reproduisent plus.